Saisissez l'opportunité dès aujourd'hui !

Explorez notre processus d’exploitation chez Walvert, où nous transformons efficacement les idées en solutions innovantes ou en produits de qualité. Notre équipe qualifiée utilise une technologie avancée pour surveiller et optimiser les opérations, assurant une performance durable et maximisée. Découvrez comment nous garantissons une gestion d’entreprise exemplaire tout en augmentant la productivité, dans l’intérêt de tous. Rejoignez-nous pour une entreprise plus performante et efficace.

Nos unités

Complémentaire à votre stratégie : politique RSE ou ESG, économie circulaire, durabilité, écologie, circuits-court, autonome en énergie, neutre carbone, transition énergétique, vision locale, etc. Nos projets rencontrent ces critères et probablement les vôtres.

Valorisation de vos déchets (selon les résultat du taux de matières sèches et du Ph) : tonte de pelouse, déchets agro-alimentaire, déchets de fruits, déchets de légumes, drèches de brasserie, levures, trub, lactosérum, lait cru, oefs, miel, graisses animales , déchets de gélatine, coquille de moule, matières stercoraires (urine, contenu des panses, des estomacs, des intestins), tourteaux, glucose, mélasse, huile végétale, marc de café et thé, coque de fruit, résidus de fruits (pulpes, moults, rafles, pépins, noyaux), etc. Certains de ces déchets devront être prétraités sur notre site dans une cuve de hygiénisation à 90°.

Traçabilité complète et transparente des déchets ainsi que des pesées automatiques à l’entrée.

Investir durablement et localement dans le projet : en tant qu’actionnaire (dividendes) ou en prêt subordonné (intérêts). Vous recevez un rendement intéressant dans un projet vert et local.

Fourniture d’énergie verte et locale à votre entreprise : production de chaleur (80° degrés) pour chauffer vos bâtiments ou alimenter vos sécheurs, production de vapeur (selon résultat de l’étude technique), production de biogaz pour alimenter vos chaudières (si en ligne directe), production d’électricité et fourniture via une communauté d’électricité.

Approvisionnement constant de l’énergie: la biométhanisation produit de l’énergie de manière stable et continue toute l’année, à l’inverse des éoliennes ou des panneaux photovoltaïques.

Economie de coûts énergétiques via communauté d’énergie renouvelable ou encore en ligne directe.

Energie disponible sous différentes formes: biogaz (env. 55% CH4), biométhane (env. 99,5% CH4), bioCNG, bioLNG, électricité, chaleur, vapeur, etc.

Ensemble nous pouvons construire un monde meilleur

Êtes-vous prêt à nous rejoindre dans notre aventure ?

Vous avez des questions ?

Voici les réponses !

La sécurité – Quel danger éventuel ?
  • Equivalent en énergie entre 5 et 10 réservoirs de voiture (gaz à pression atmosphérique)
  • Tout le site est en zone ATEX impliquant une sécurité maximale et les équipements adéquats
  • Le site est clôturé et l’entrée au site est close à l’aide d’un portail automatique
  • Une collaboration avec la zone de pompiers locale est toujours mise en place
  • Les techniques sont connues et validées (8.000 installations en Allemagne dont certaines depuis plus de 30 ans)
Le bruit : non perceptible en dehors du site​
  • Chaque unité est soumise à la réglementation de l’Arrêté Royal du 4 juillet 2002 – Arrêté du Gouvernement wallon fixant les conditions générales d’exploitation notamment en terme de bruit (Législation/Permis d’environnement/Conditions générales d’exploitation des établissements (wallonie.be)
  • En sus, le moteur de cogénération est placée dans caisson isolant (type container maritime) réduisant le bruit à 55db à 10m.
  • Les moteurs des éléments externes à l’unité de biométhanisation (agitateurs, trémie …) sont entourés de capotages acoustiques
  • Le chargeur télescopique pour le chargement du digesteur ne travaille qu’une à deux heures par jour.
  • L’unité est entourée d’un talus de deux mètres planté de haies
Les odeurs : nous non plus, nous ne les aimons pas !
  • Le digesteur est encapsulé (double bâche) puisque le processus de biométhanisation se passe en milieu anaérobique (fermé)
  • Le fumiers approvisionne le processus en continu et n’est donc plus stocké en bord de champs. Le fumier est directement incorporé dans le digesteur et pas stockée sur site.
  • Le lisier est transporté et directement incorporé dans une préfosse étanche, enterrée et fermée.
  • Les autres matières sont stockées en silo bâché (ensilage de CIVE, maïs, herbes, etc.).
  • Le digestat (fertilisant issu du processus) ne sent plus (contrairement au fumier et lisier actuellement épandus) car il est enfoui dans le sol à l’épandage grâce à un pendillard.

L’objectif est que les matières soient intégrées directement au fur et à mesure dans le digesteur afin d’éviter la dégradation à l’air et de maintenir le pouvoir méthanogène (capacité de produire du gaz).

Va-t-on avoir des camions et tracteurs dans tous les sens, nuit et jour ?
  • Non, le transport se fait uniquement en journée (8h-18h) du lundi au samedi. A titre exceptionnel (2 à 3 jours par an lors de la période d’ensilage), la période est plus longue mais jamais durant la nuit (jamais entre 22h à 6h).
  • En général, à proximité de l’installation, augmentation moyenne du charroi d’environ un à deux tracteurs par jour (A-R) par rapport à la situation actuelle (pour un projet d’une puissance électrique installée de 600-800 kWé). L’impact sera donc imperceptible pour le quotidien des riverains.
Quelles matières peuvent entrer en biométhanisation ?

Globalement, toutes les matières organiques non ligneuses, qu’elles soient liquides ou
solides peuvent être utilisées comme matière première. L’ensemble des substrats
provient principalement des 3 secteurs suivants :
– Agricole (effluents, déchets, sous-produits, cultures)
– Industrie agroalimentaire (déchets, sous-produits, mélasse, tourteaux, glucose, etc.)
– Des collectivités (déchets verts, déchets ménager (FFOM2))

L'exploitation d'unités au biogaz favorise-t-elle la création de monocultures dans l´agriculture ?

Non. Les unités de biométhanisation en Région Wallonne, n’ont actuellement et n’auront pas
plus à l’avenir d’influence sur le développement massif des monocultures. Le développement des monocultures dépend principalement du cadre agricole général (politique, conditions climatiques,…).

Quelle valorisation pour le digestat ?

Sous forme liquide, solide, ou composté, le digestat peut être valorisé comme fertilisant
sur des terres agricoles. En fonction de la qualité et de la traçabilité des intrants, le
digestat peut être valorisé en agriculture biologique. Un digestat sec peut être
conditionné sous différentes formes et commercialisé dans les jardins ou être exporté
dans des régions en manque de fertilisant.

Et l'intégration paysagère?

Le choix des implantations prend toujours en compte ce critère.

De plus, les cuves sont enterrées et ne dépassent que de 3m soit la hauteur d’un bâtiment d’un étage.

Le site est entouré de plantations (flore locale).

Le bâtiment d’exploitation répond aux normes de l’urbanisme local.

Les besoins en eau d'une station sont-ils importants ?

Ils sont nuls, si ce n’est pour le lavage (du matériel par exemple) pouvant être réalisé à
l’eau de pluie récoltée sur site. Le site est donc autonome en eau et ne rejette aucune eau dans les égouts.